lundi 15 juillet 2013

Digital governance : de la sureté fonctionnement des SI à la valeur des contenus digitalisés [juin 2013]

En entreprise, la direction informatique porte la sûreté de fonctionnement des systèmes d’information. Porteuse également d'expérience en gestion de contenus digitalisés, tels que l’organisation d’entreprise, exprimée en logiciel, ou les méthodes en gestion informatique, distribuées sous copyright, la direction informatique peut éclairer les métiers cherchant à valoriser les contenus numériques.

L'article en cinq mouvements de pensée : 
  1. La DSI, porteuse de la sûreté de fonctionnement des SI de la l'entreprise 
  2. Digitalisation de l'entreprise : de plus en plus d'utilisateurs des SI externes à l'entreprise 
  3. Production de données conformes et co-création de connaissances d'entreprise
  4. Disponibles à la DSI, des expériences diversifiées de partage de la valeur de contenu digitalisé
  5. "Design management" et méthode du partage de la valeur de contenu digitalisé.
Auteur : Tru Dô-Khac

Note de l'auteur :

Sortie officielle : Le Cercle Les Echos, 16 juillet 2013.

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Digital governance : de la sûreté de fonctionnement des systèmes d’information à la valorisation des contenus digitalisés

En entreprise, c’est la direction informatique qui porte la sûreté de fonctionnement des systèmes d’information. Néanmoins, grâce à son expérience en contenus digitalisés, tels que l’organisation d’entreprise, exprimée dans des logiciels, ou les méthodes de gestion informatique, distribuées sous copyright, elle peut éclairer les métiers cherchant à valoriser les contenus numériques.


Longtemps positionnée dans les fonctions support [1], les directions des systèmes d’information (DSI) des grandes entreprises se sont surtout préoccupées de monter et opérer les chaînes applicatives de l’usine informatique au profit des directions métiers.

Maîtrise de la sûreté de fonctionnement des systèmes d’information
Les directions métiers, qui portent la maîtrise d’ouvrage de ces chaînes, sollicitent l’assistance de la DSI pour en définir les spécifications, sélectionner une maîtrise d’œuvre de construction et en réaliser la recette.

Les chaînes applicatives mises en route et les utilisateurs des métiers ayant été formés, l’informatique devient une affaire de sûreté de fonctionnement : il s’agit pour la DSI d’assurer l’intégrité, la confidentialité et la disponibilité des données générées par leur exploitation ; c’est sous ces conditions de maintien des chaînes applicatives en conditions opérationnelles que les directions métiers peuvent améliorer leurs performances par l’usage conforme de ces chaînes.

Production de données et co-création de connaissances d’entreprise
Avec le numérique, les chaînes applicatives ne sont plus utilisées par les seuls employés de l’entreprise ; elles sont également mises à la disposition d’utilisateurs externes des clients et fournisseurs de l’entreprise.
Contrairement aux employés, les utilisateurs externes sont rarement formés à l’utilisation des chaînes et, en outre, les protocoles d’utilisation de certains systèmes, tels que les réseaux sociaux d’entreprise à accès réservé aux clients, sont indéfinis.

Il est clair que l’utilisation interne et l’utilisation externe sont très différentes.

Dans le premier cas, il s’agit de faire exécuter par les employés de l’entreprise des procédures pensées et prévues par les programmeurs des chaînes applicatives de l’entreprise ; un utilisateur n’est qu’un des contributeurs à la production de données alignées aux plans de l’entreprise.
Dans le second cas, l’utilisation laisse des traces qui reflètent un contexte, une posture ou des intentions, non de l’entreprise, mais propre à l’utilisateur. Mémorisées et digitalisées, ces traces sont pour l’entreprise un gisement de connaissances sans précédent sur son écosystème.

Mais ces traces sont le résultat d’une co-création et dès lors se pose la question de sa propriété et du partage des fruits de son exploitation entre les co-créateurs.

Des pratiques d’exploitation de contenus digitalisés disponibles dans l’entreprise
Pour adresser cette question, les directions métiers peuvent s’appuyer sur la direction informatique qui bénéficie d’ores et déjà d’expériences diversifiées de partage de la valeur de contenus digitalisés.

Tout d’abord, c’est celle où l’organisation de l’entreprise a été digitalisée dans les logiciels de gestion d’entreprise. Puis, celle où les pratiques de gestion informatique ont été digitalisées dans des ouvrages publiés sous copyright [2]. Enfin, une dernière pourra être le développement les ressources humaines de l’entreprise par les réseaux sociaux [3].

L’examen de ces expériences montre une variété de régimes de propriété et de partage des fruits d’exploitation.

Maîtrise d’usage de contenu digitalisé
Pour traduire cette réalité dans des méthodes de gestion, il peut être élégant d’introduire, au coté de la notion de maîtrise d’ouvrage et de maîtrise d’oeuvre des chaînes applicatives, la notion de maîtrise de l’usage de contenu digitalisé [4].

Plus généralement, on pourra s’intéresser à IT Regime Management, une représentation de la gouvernance digitale de l’entreprise intégrant dans une même approche orientée relation la sûreté de fonctionnement de SI et la valeur des contenus digitalisé [5].

Enfin, dans une politique d’achat responsable, on étudiera comment la commande publique adresse cette question avec la notion de « connaissances antérieures » et de régimes de propriété intellectuelle [6].



[1] Dans « L’avantage concurrentiel », 1986, Michaël Porter représente l’entreprise sous la forme d’une chaîne de valeur mettant en oeuvre des « activités principales » et des « activités de support ».
[2] Pour mieux produire ou innover avec vos systèmes numériques, mettez en oeuvre le bon "référentiel SI", Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Echos, 15 novembre 2012.
[3] Un réseau social sur Cloud pour l'entrepreneur africain", Tru Dô-Khac, CIO-Mag, avril mai 2012.
[4] "La maîtrise d’usage, une notion innovante", Tru Dô-Khac, CIO-Online, 23 août 2010.
[5] "L'IT Regime Management, un gouvernance de systèmes d'information lean", Le Cercle Les Echos, 23 mai 2012
[6] Transformation digitale de la prestation intellectuelle : le nouvel avantage compétitif du copyright, Tru Dô-khac, Le Cercle Les Echos, 11 juillet 2012.

mardi 9 juillet 2013

Transformation digitale de la prestation intellectuelle : l'avantage compétitif du copyright [jui 2013]

En prestation intellectuelle, le savoir-faire est un avantage compétitif établi, et le copyright, trop souvent méconnu. En questionnant l’efficacité du secret d’entreprise et pistant les velléités de parasitisme et de contrefaçon, le numérique ouvre la voie à de nouvelles pratiques d’achat reposant sur la transparence et la sécurité d’exploitation des "connaissances d'entreprise" distribuées sous copyright.

L'article en cinq mouvements de pensée : 
  1. De la notation du savoir-faire déclaré dans une offre de prestation intellectuelle 
  2. La notion de "connaissances antérieures" disposée dans les cahiers des clauses administratives générales de la commande publique
  3. Trois régimes d'usage des "connaissances antérieures"
  4. Impératifs de transparence et de confiance en commande publique
  5. Pratiques d'achat renouvelées avec le numérique


    Auteur : Tru Dô-Khac

    Note de l'auteur :

    Sortie officielle : Le Cercle Les Echos, 11 juillet 2013

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      • Reproduction permanente ou temporaire sur réseau social d'entreprise/intranet avec accompagnement professionnel dédié : sous conditions commerciales (contact : Dô-Khac Decision)
      • Autre cas : déterminés par le Code de la propriété intellectuelle, notamment L 122-5.
      • L'accès public à cet article est gracieux. Si vous souhaitez le "privatiser" au delà de ce que permet la L 122-5 notamment en en représentant tout ou partie dans un cercle privé (intranet ou réseau social d'entreprise, d'association,...), merci de prendre contact préalablement.
      Libre : pas d'obligation de déclaration préalable de l'identité et coordonnées du lecteur
      Gracieux : pas de contribution financière demandée
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      Mots clefs thématiques :

      Intelligence collective : 

      Références (accès en deux clics via ce site) :
      [1] Cahier des clauses administratives générales applicables aux marchés publics de prestations intellectuelles  (CCAG-PI)

      [2a] "Les « connaissances antérieures » désignent tous les éléments (…), qui ne résultent pas de l'exécution des prestations objet du marché, (…) et qui appartiennent, au jour de la notification du marché, au titulaire du marché ou à des tiers, ou qui leur sont concédés en licence. Les connaissances antérieures sont identifiées dans les documents particuliers du marché."

      [2b] Gouvernance de la propriété intellectuelle en relation d’affaires, Dô-Khac Decision

      [3] Pour anticiper les changements de comportement des acteurs de la sphère "marchande" sur le copyright, vous êtes invités à parcourir les discussions du blog participatif de Culture Acte 2 (mission de concertation sur les contenus numériques et la politique culturelle à l'ère du numérique).

      [4] Mesurer l'efficacité concurrentielle d'une innovation : un cas d'école en commande publique, Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos, 4 juin 2013.
        
      [5] L'entreprise numérique créative, Dô-Khac Decision.

      [5b] Une expérience numérique immédiate et directe sur le copyright en BtoB

      [6a] Les stratégies d’open savoir-faire, Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos 29 décembre 2011.

      [6b] L’open savoir-faire, une innovation radicale inspirée de l’open source, Tru Dô-Khac, La Jaune et La Rouge, mai 2012.

      [6c] Le copyright en B2B, une innovation numérique ? Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos, 23 avril 2013.

      [7] Le copyright en BtoB, gisement d'emplois en prestation intellectuelle, Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos, 10 juin 2013.




      Transformation digitale de la prestation intellectuelle : le nouvel avantage compétitif du copyright


      En prestation intellectuelle, le savoir-faire est un avantage compétitif établi. En questionnant l’efficacité du secret d’entreprise et pistant les velléités de parasitisme et de contrefaçon, le numérique ouvre la voie à de nouvelles pratiques d’achat reposant sur la transparence et la sécurité d’utilisation des "connaissances d'entreprise" distribuées sous copyright. 


      Le big data, qui transforme la valeur des enquêtes de marché et des benchmarks organisationnels, porte de nombreuses promesses dans le secteur des services aux entreprises. Dans le segment particulier des prestations intellectuelles, le big data apporte au copyright un avantage compétitif sans précédent.

      Noter le savoir-faire déclaré dans une offre
      Lors d'une convention de prestation intellectuelle courante, la description des livrables (documents, supports de présentation…) et le plan de réalisation sont circonscrits. La satisfaction des attentes du commanditaire dépend alors :
      • du travail des consultants engagés par le prestataire et de la contribution des collaborateurs du commanditaire,
      • de l'emploi pertinent d'outils et de techniques mis à disposition par le prestataire,
      • de la mobilisation opportune du savoir-faire du prestataire au fil de la réalisation.

      Si l'évaluateur d'une offre de prestation intellectuelle peut objectiver le profil type des consultants (certification, séniorité, parcours professionnel...) et apprécier les fonctionnalités des outils et des techniques proposées dès lors qu’ils sont offerts par des parties tierces, il est souvent embarrassé pour noter le savoir-faire mis en avant dans l'offre du prestataire.

      Par savoir-faire, il faut lire ici un ensemble secret, substantiel et identifié d’informations pratiques non brevetées, résultantes de l’expérience et testées [1].

      L'avantage compétitif du savoir-faire logeant dans le secret, le savoir-faire est rarement explicité dans le dossier de réponse d'un candidat à un appel d’offres, car les conditions de confidentialité attendues par le candidat ne sont pas toujours en place. Selon une pratique commerciale généralement adoptée, le savoir-faire est suggéré par la réputation de la marque du prestataire, la mise en scène de références clients et la description de la gestion des connaissances et des processus de capitalisation des expériences chez le prestataire. Ce n’est qu’en phase de contractualisation que ce savoir-faire est formellement identifié et un transfert éventuel négocié.

      Trois régimes d’usage des "connaissances antérieures"
      Tant pour la commande privée que publique, l’évaluation du savoir-faire représenté dans une offre est essentielle et substantielle pour retenir le meilleur prestataire. Mais pour la commande publique s’y ajoute l’impératif moral sinon réglementaire de l’équité de traitement entre les candidats.

      C’est dans cette perspective qu’il faut lire certains dispositifs des cahiers des clauses administratives générales applicables aux marchés publics de prestations intellectuelles (CCAG-PI) rénovés en 2009.

      En l’espèce, les CCAG définissent la notion de "connaissances antérieures", imposent de les identifier et, pour celles qui ne sont pas sous régime libre, de les soumettre à un des trois régimes d’usage suivant [2] :
      1) Les connaissances antérieures "incorporées aux résultats" de la prestation,
      2) Les connaissances antérieures non incorporées aux résultats de la prestation, mais "strictement nécessaires pour la mise en œuvre des résultats",
      3) Les connaissances antérieures non incorporées aux résultats non strictement nécessaires pour la mise en œuvre des résultats.

      Dans ce cadre, un candidat doit, pour chaque connaissance antérieure non libre qu'il entend mobiliser, en identifier le propriétaire (candidat, "tiers", "licence") et déterminer le régime d'usage applicable. Ainsi, c'est sous le régime de connaissances antérieurs non incorporées aux résultats non strictement nécessaires pour la mise en œuvre des résultats qu'un candidat range souvent ses propres instruments de réalisation de prestation (grains pédagogiques, méthodes, techniques de conception...) qui constituent son fonds de commerce et dont il entend se réserver l’exploitation. Néanmoins, rien n'interdit au candidat de proposer à la commande publique de souscrire une licence dont l’opportunité sera alors discutée séparément des accords de prestation.

      Impératifs de transparence et confiance en la commande publique
      En prenant l'initiative de déclarer et de décrire expressément, dès le dossier de réponse et sans attendre la phase de négociation, les différentes connaissances antérieures mobilisées pour la production des livrables et leur régime d’usage respectif, le candidat :
      • Démontre une maîtrise réelle de ces connaissances et donne des gages d’utilisation licite et paisible [3],
      • Confirme à la commande publique la détention de propriétés intellectuelles et de savoir-faire valorisable,
      • Fait acte de confiance envers la commande publique en donnant un aperçu signifiant de son savoir-faire,
      • Décharge la commande publique d'une incertitude sur les moyens intellectuels mobilisables,
      • Raccourcit le délai des négociations contractuelles à venir qui achoppent souvent sur la question des propriétés intellectuelles lorsqu’elles ne sont qu'évoquées dans le dossier de réponse.

      En optant pour une posture de transparence et de confiance envers la commande publique, le candidat prend une chance notable de s'attirer la reconnaissance de celle-ci [4] et d'être invité à la table de négociation pour traduire les différents régimes d'usage applicables en engagements contractuels.

      Pratiques d’achat renouvelées par le numérique
      Avec le numérique, on peut s'attendre à ce que la commande privée s'inspire des pratiques de traitement des connaissances en relation d'affaires adoptées par la commande publique rénovée.

      Tout d’abord, il est clair que le numérique questionne l’efficacité du secret d’entreprise, diminuant l’avantage compétitif du savoir-faire qui réside dans le secret. Puis, le big data et ses outils de recherche permettent de pister les velléités de parasitisme et la contrefaçon [5], donnant au copyright des moyens sans précédent de protection. Enfin, dans le contexte particulier d'un appel d'offres où les avantages compétitifs se manifestent avec vigueur, le copyright, par essence divulguable, ne porte pas les risques du savoir-faire lorsqu'il est exposé dans les dossiers de réponse, au contraire !

      Ces quelques raisons éclairent pourquoi certaines entreprises détentrices de savoir-faire ont décidé de le "partager" sous une stratégie d’open savoir-faire [6].

      Pour l’acheteur de prestations intellectuelles, la distinction entre savoir-faire, copyright et pratiques s’estompe pour faire place aux "connaissances d'entreprise" ; lors du dépouillement des réponses, il établit la liste des connaissances proposées par les différents prestataires et s’assure de la régularité de leur exploitation commerciale.
      Dans le cadre d'une politique d'entreprise d'achat responsable [7], l'acheteur privé pourra s’inspirer de la commande publique rénovée pour définir des pratiques d’achat basées sur le principe de transparence et la sécurité d’utilisation des actifs intellectuels.


      [1] Cahier des clauses administratives générales applicables aux marchés publics de prestations intellectuelles
      [2a] "Les "connaissances antérieures" désignent tous les éléments (…), qui ne résultent pas de l'exécution des prestations objet du marché (…) et qui appartiennent, au jour de la notification du marché, au titulaire du marché ou à des tiers, ou qui leurs sont concédés en licence. Les connaissances antérieures sont identifiées dans les documents particuliers du marché."
      [2b] Gouvernance de la propriété intellectuelle en relation d’affaires, Dô-Khac Decision.
      [3] Pour anticiper les changements de comportement des acteurs de la sphère "marchande" sur le copyright, vous êtes invités à parcourir les discussions du blog participatif de Culture Acte 2 (mission de concertation sur les contenus numériques et la politique culturelle à l'ère du numérique).
      [4] Mesurer l'efficacité concurrentielle d'une innovation : un cas d'école en commande publique, Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos, 4 juin 2013.
      [5] L'entreprise numérique créative, Dô-Khac Decision.
      [6a] Les stratégies d’open savoir-faire, Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos 29 décembre 2011.
      [6b] L’open savoir-faire, une innovation radicale inspirée de l’open source, Tru Dô-Khac, La Jaune et La Rouge, mai 2012.
      [6c] Le copyright en B2B, une innovation numérique ? Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos, 23 avril 2013.
      [7] Le copyright en BtoB, gisement d'emplois en prestation intellectuelle, Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Échos, 10 juin 2013.


      [Par exemple, Dô-Khac Decision, cabinet de conseil en management de système d'information, est titulaire d'un licence de Cobit 5, le référentiel de management de SI édité par l'ISACA , une association professionnelle internationale revendiquant plus de 100 000 membres. Sous cette licence,  Dô-Khac Decision construit paisiblement une offre propre pour apporter un surcroit de valeur à ses clients].

      Cobit® is a registered trademark of the Information Systems Audit and Control Association®.
      www.isaca.org/About-ISACA/Licensing-and-Promotion/Pages/IP-License-Program.aspx 
      *Par savoir-faire, il faut lire ici un ensemble secret, substantiel et identifié d’informations pratiques non brevetées, résultantes de l’expérience et testées .

      Trophée innovation numérique 2015

      Le Trophée IT Innovation Forum catégorie Enterprise Mobility / Collaboratif a été décerné à l'innovation frugale Personal MOOC par le vote des quelques 200 membres du Club des Responsables d'Infrastructure et de Production (CRIP) lors de l'IT Innovation Forum du 27 janvier.
      Communiqué sur le site de Dô-Khac Decision